En début des années 70, il abandonne la photo pour se consacrer entièrement à la peinture. Il crée une toile de 4 x 2 mètres avec 6000 personnages, dont la reproduction est achetée par Steven Spielberg avec droits d’auteurs, pour servir d’inspiration pour son film Indiana Jones « le temple maudit ». L’œuvre qui s’intitule « Métamorphose par instinct d’immortalité» voyage beaucoup est devient son œuvre maîtresse. TV5 lui commande une toile sur la vie de Tom Cruise. Il crée des couvertures de disques et de livres. Salvador Dali, Sarah Picasso, Otto Preminger, ils viennent tous l’honorer à la Swiss Center Gallery à New York. Prix Nichido à Tokyo.

Commande de 6 toiles de 4×2 mètres, exposées dans toute la France, lors de la présentation itinérante, accompagnée d’un spectacle, en hommage à la Gastronomie «dalinienne». Galeries : Donor & Muret Hirsch et Swiss Center Gallery, National Art Club, New York – Centre d’Art du Mont Royal, Montréal – Drouot, Matarasso, Paris – Schreiner, Duesseldorf – avec Hans Gigger à Bâle – Galerie Hôtel de Ville, Galerie d’Hermance, Genève e.a. Dédicace et exposition au Grand Passage, Genève. Ventes aux enchères : Art Auction Park, Bernet Montréal – Vente sur Channel 13 et 6, New York – German, Zuerich – Naville, Genève. Il figure dans plusieurs grandes collections privées. Il peint une nouvelle œuvre « Les Géants » de 2×3 mètres, 50 ans après la « Métamorphose », en s’inspirant de celles-ci. Fasciné par le genre humain, il sait mettre ses personnages dans une ambiance d’apesanteur, dans un monde imaginaire et sensuel.

José Gerson dessine depuis le plus jeune âge. À l’école primaire, il prend la place du professeur et dessine au tableau noir devant ses camarades. Avec facilité, il continue à créer au crayon mine 0, 2 des dessins très élaborés qui vont de la miniature jusqu’au dessin géant de plus d’un mètre. Il enseigne dans les années 70 le dessin à Antony Delon, David Hallyday et au fils de Brigitte Bardot. Il échange des dessins avec Salvador Dalí. Dans les années 80 il enseigne également à I’UAD Union des Arts décoratifs au Louvre à Paris. Il donne des cours de dessin dans plusieurs écoles à des jeunes élèves, dont plusieurs d’entre eux ont continué à étudier aux Beaux-arts, d’autres étudient l’illustration, la BD. Il ne se promène rarement sans papiers et crayons dans sa poche, toujours aux aguets de ne pas perdre cet instant propice à la création d’une petite esquisse, lui servant parfois à créer une huile. On retrouve parfois dans ses dessins des perspectives qui nous submergent d’étonnement, mais aussi des portraits et profiles qui sortent de nulle part, s’entre-mêlant avec planètes ou objets insolites, qui subliment le regard du spectateur. Vous pouvez aussi l’observer à esquisser des projets pour ses peintures à l’huile, dont le dessin est la base pour la pose de ses idées, et reste une passion toute particulière jusqu’à aujourd’hui.

José Gerson dessine depuis le plus jeune âge. À l’école primaire, il prend la place du professeur et dessine au tableau noir devant ses camarades. Avec facilité, il continue à créer au crayon mine 0, 2 des dessins très élaborés qui vont de la miniature jusqu’au dessin géant de plus d’un mètre. Il enseigne dans les années 70 le dessin à Antony Delon, David Hallyday et au fils de Brigitte Bardot. Il échange des dessins avec Salvador Dalí. Dans les années 80 il enseigne également à I’UAD Union des Arts décoratifs au Louvre à Paris. Il donne des cours de dessin dans plusieurs écoles à des jeunes élèves, dont plusieurs d’entre eux ont continué à étudier aux Beaux-arts, d’autres étudient l’illustration, la BD. Il ne se promène rarement sans papiers et crayons dans sa poche, toujours aux aguets de ne pas perdre cet instant propice à la création d’une petite esquisse, lui servant parfois à créer une huile. On retrouve parfois dans ses dessins des perspectives qui nous submergent d’étonnement, mais aussi des portraits et profiles qui sortent de nulle part, s’entre-mêlant avec planètes ou objets insolites, qui subliment le regard du spectateur. Vous pouvez aussi l’observer à esquisser des projets pour ses peintures à l’huile, dont le dessin est la base pour la pose de ses idées, et reste une passion toute particulière jusqu’à aujourd’hui.